Dans une décision du 16 mai 2018, la Cour de cassation a indiqué que :
Le 20 juin 2018 de la Cour de cassation a considéré que l'information délivrée par le banquier devait être objective, suffisante
et compréhensible afin de permettre à son client de comprendre la nature de l’offre proposée ainsi que les risques y afférents et de
prendre sa décision en toute connaissance de cause ; cela n'avait pas été le cas dans la mesure où la Banque avait communiqué
une proposition sommaire et que celle-ci ne comprenait pas de simulation chiffrée des risques encourus au regard de l'évolution prévisible.